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Auteur Antoon Krings (1962-....) |
Documents disponibles écrits par cet auteur (42)
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À entendre Pascale la cigale, l'été s'annonçait chaud et délicieux. Dans le jardin, chaque feuille, chaque fleur était comme assoupie sous le soleil brûlant, et ses habitants avaient un petit air somnolent.texte imprimé
«Êtes-vous sûr que les mille-pattes ont bien 1000 pattes et pas 980 ou 1022 ' Pour ma part, je n'en sais rien, mais comme il est assez ennuyeux de compter autant de petites choses sur les doigts d'une seule main sans se tromper, je répondrai un [...]texte imprimé
Une petite mouche habitait une bicoque plutôt sale et s'en accommodait très bien. Son travail consistait à fouiller les poubelles. Ses voisins ne l'aimaient guère.texte imprimé
«Sur les chemins de l'école buissonnière, une bande de moineaux s'ébouriffaient dans la poussière. Ils se querellaient comme ça, pour rien, pour mieux se réconcilier autour d'une miette et se poursuivre sans fin en criant joyeusement : Libres ![...]texte imprimé
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«Il était une fois un hérisson qui s'appelait Samson. Il était tout rond comme un marron, piquant comme une châtaigne, et il reniflait souvent. On pouvait l'entendre flairer bruyamment la nuit quand il se promenait dans l'allée du jardin...»texte imprimé
Siméon aime les fleurs et vole de l'une à l'autre. Un matin, les fleurs ne veulent pas s'ouvrir. Siméon fait son enquête et apprend qu'un papillon de nuit donne des bals en jouant de la trompette du soir jusqu'au matin.texte imprimé
«Dès l'arrivée du printemps, les oiseaux se mirent à gazouiller sur les branches du vieux sapin encore endormi. Les moineaux avec les sansonnets furent les premiers à chanter. Puis, apparurent le beau merle et sa merlette, la grive musicienne et[...]texte imprimé
Ursule la libellule habitait seule une petite maison humide au milieu de l'étang. Elle n'aimait pas que l'on vienne la déranger et pour cette raison n'invitait jamais personne, ce qui n'empêchait pas, chaque année, au retour des beaux jours, la [...]texte imprimé
«Tout le monde dormait... C'est l'heure, murmura Valérie, l'heure des vampires, susurra la chauve-souris en s'étirant. Pas besoin d'artifices, de nez crochus ou de pustules pour leur faire peur. Il me suffit d'être naturelle et de battre des ail[...]texte imprimé
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Soudain, dans le jardin profondément endormi, un cri strident et sauvage retentit... César le lézard tremble de tous ses membres. Effroyable présage, pensez-vous, mais plus effroyable encore est l'instant où, à la défaveur d'un rayon de lune, il[...]